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 DANS L'AUTOBUS Á C U

 

DANS L’AUTOBUS Á  C. U.

Dimanche dernier, je me suis reveillé de bonne heure, á 6:00 du matin.  Je n’ai pas pris mon café, d’ailleurs je ne le prends jamais le matin chez-moi, j’aime aller le prendre dans un resto appellé SamBorns ou au McDo, dans les deux il y a des belles femmes souriantes qui se font un plaisir de me recevoir avec un “bonjour” ou une “bienvenue”.

 

J’ai ouvert la porte de chez-moi et l’autobus s’arrëte juste devant.  J’ai embarqué dans celui qui disait C U et qui m’améne direct á l’estation du metro de la Cité Universitaire de la UNAM (Université Nationale Autonome du Mexique).   J’ai donné au chauffeur les cinq piéces du passage et je me suis assis dans un siége confortable que j’ai trouvé au fond du véhicule. 

 

C’était impossible de croire, mais on aurait dit que j’avais envie encore de dormir, l’autobus s’est avancé quelques pätés de maisons et tout d’un coup, j’ai vu que l’un des passagers avait les yeux sautés et rouges, il avait aussi la face un peu verdätre.  Je me suis dit que peut-ëtre ce Monsieur avait fëté toute la nuit de samedi et qui’il ne s’avait pas encoré couché, et que c’était la raison pour laquelle il aviat l’air qu’il avait.

Tout d’un coup, l’autobus est passé par un petit village appellé Le Front du Diable.  Les genes raccontent des histories bizzarres de cet endroit-lá, des histoires de peur.    J’ai regardé les gens lorsqu’on montait sur le Pont Du Diable, le pont du villaje.  Il n’y avait pas seulement un Monsieur qui avait la face et les mains verdätres ainsi que les yeux rouges mais il y en avaient plusieurs, mëme un enfant avait les yeux rouges et en me regardant, et en me souriant,  j’ai remarqué qu’il avait des gros dents pointus.  Je me suis levé vite de mon siége mais je ne pouvait pas descendre de l’autobus car il fillait á toute allure.

 

En essayant de sauter par l’un des fenëtres j’ai constaté que l’on ne roulait pas sur le pont mais que l’autobus volait haut dans les aires.  Desesperé j’ai demandé au choffeur “Monsieur, SVP, pouvez-vous me laisser par ici, je ne veux plus me rendre jusqu’á C U”.  Le choffeur a tourné sa face vers moi et a souri, en ce momento-lá j’ai pu voir ses yeux rouges, sa peau verdätre et ses dents pointus, il s’est levé de son siége et a sauté sur moi, il a mis ses deux mais sur mon cou et a serré fort.  Lorsque je commencait á perdre connaissance  j’ai entendu une petite voix lointaine qui me disait:  “Monsieur, Monsieur, reveillez-vous on vient d’arriver á C U”.

 

GRB. 31 de mayo del 2010

 

FIN

 

A MA FILLE: Quand tu étatait petite c’étatit obligatoire de te racconter une histoire avant de dormir.  Je te raccontait des belles histoires pour enfants avec une morale inventée á l’instant par Monsieur moi-mëme.  Mais aujourd’hui j’ai voulu te faire peur.

Est-tu morte de peur?

Moi, oui

On arrivait au village Le Front du Diable, c'était un peu épeurant.

 

On volait haut dans le ciel et on ne le savait pas.

 

On voit une seule des deux escaliers pour monter dans la station du metro C U

 

Une partie des deux escaliers de C U. On venait d'arriver sains et saufs.  Puff !!

 

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